Tendances en matière de dépenses des régimes publics d’assurance médicaments au Canada

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Le 3 novembre 2022 — Apprenez-en plus sur les récentes tendances observées relativement aux dépenses des régimes publics d’assurance médicaments au Canada. Les principaux sujets abordés comprennent les catégories de médicaments représentant les dépenses les plus élevées, les catégories ayant le plus contribué à la croissance des dépenses, celles ayant permis de réaliser les plus importantes économies, ainsi que les dépenses associées aux médicaments onéreux et aux médicaments biologiques. 

Les données sur les demandes de remboursement de médicaments proviennent du Système national d’information sur l’utilisation des médicaments prescrits (SNIUMP) de l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), telles qu’elles ont été soumises par les régimes publics d’assurance médicaments de chaque province canadienne et du Yukon. En raison des variations dans la couverture des régimes publics d’assurance médicaments et dans les facteurs sociodémographiques d’une autorité compétente à l’autre, il importe de prendre en compte la structure des régimes en comparant les résultats entre différentes populations.

Combien les régimes publics du Canada ont-ils dépensé en médicaments prescrits?

En 2021, les dépenses des régimes publics d’assurance médicaments représentaient 44 % des dépenses consacrées aux médicaments prescritsReference1 et se chiffraient à 16,2 milliards de dollars — une hausse de 7,4 % par rapport à 2020 (le taux de croissance le plus élevé depuis 2018). Les dépenses des régimes publics d’assurance médicaments varient selon l’autorité compétente en raison des différences dans la structure des régimes, la liste des médicaments assurés, les tendances en matière de prescription ainsi que la santé et les caractéristiques démographiques de la population.

Pourcentage des dépenses des régimes publics d’assurance médicaments, selon le sexe, l’âge et le quintile de revenu, par autorité compétente, 2021

Cette infographie est décrite ci-dessous
Province ou territoireT.‑N.‑L.Î.‑P.‑É.N.‑É.N.‑B.QcOnt.Man.Sask.Alb.C.‑B.YnCanada*
Dépenses totales des régimes (DTR) (en millions de dollars)167,7 $40,6 $313,8 $294,9 $4 730,1 $7 480,4 $413,7 $482,7 $994,2 $1 246,6 $12,2 $16 176,8 $
Pourcentage des DTR consacrées aux femmes54,3 %51,2 %51,8 %51,8 %51,3 %49,8 %52,4 %50,9 %51,9 %50,4 %46,6 %50,6 %
Pourcentage des DTR consacrées aux personnes âgées52,2 %56,2 %64,9 %55,2 %65,3 %66,6 %38,9 %38,5 %71,8 %38,4 %58,2 %62,4 %
Pourcentage des DTR dans le quintile de revenu le plus faible (Q1)30,3 %26,9 %25,6 %30,2 %Non disponible26,0 %21,1 %20,7 %20,6 %29,9 %30,2 %25,7 %†

Remarques
* À l’heure actuelle, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut ne soumettent pas de données au SNIUMP. Le régime fédéral administré par la Direction générale de la santé des Premières Nations et des Inuits (DGSPNI) est exclu, les données de ce régime n’étant pas disponibles après 2019.
† Le pourcentage des dépenses totales des régimes (DTR) au Canada pour le quintile de revenu le plus faible (Q1) ne tient pas compte des données du Québec.

Sources
Système national d’information sur l’utilisation des médicaments prescrits, 2021, Institut canadien d’information sur la santé; Banque médicaments, 2021, Régie de l’assurance maladie du Québec.

Toutes les autorités compétentes du Canada fournissent une assurance médicaments aux personnes âgées de 65 ans et plus. En 2021, les personnes âgées représentaient 19 % de la population du Canada et 62 % des dépenses des régimes publics d’assurance médicamentsReference2. Proportionnellement, le Manitoba, la Saskatchewan et la Colombie-Britannique ont moins dépensé pour les personnes âgées que les autres autorités compétentes, car elles offrent une couverture plus complète aux autres groupes d’âgeReference3.

Terre-Neuve-et-Labrador et le Nouveau-Brunswick ont dépensé davantage, proportionnellement, pour les personnes du quintile de revenu le plus faible. Dans ces 2 provinces, la couverture offerte par les régimes publics est surtout destinée aux personnes âgées à faible revenu et englobe une population aux besoins plus importants, ce qui fait augmenter le nombre moyen de catégories de médicaments par bénéficiaireReference3.

Pour quels médicaments les dépenses ont-elles le plus changé au Canada?

Les médicaments contre le diabète ont le plus contribué à la croissance des dépenses en 2021. Les analogues du glucagon-like peptide-1 (GLP-1) et les inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose de type 2 (SGLT-2) figurent respectivement au premier rang (11,7 %) et au cinquième rang (6,1 %) des médicaments ayant le plus contribué à la croissance des dépenses. Les dépenses liées à ces 2 médicaments ont atteint 620 millions de dollars, ce qui représente une augmentation de près de 200 millions entre 2020 et 2021. Cette augmentation est sans doute attribuable à la hausse de la prévalence du diabète au CanadaReference4Reference5 et à la mise à jour des lignes directrices de prescription clinique en 2020, qui incluent des recommandations élargies pour la prescription d’inhibiteurs du SGLT-2Reference6. De plus, plusieurs provinces et territoires ont ajouté l’analogue du GLP-1 Ozempic (sémaglutide) à leur liste de médicaments assurés pour les adultes atteints de diabète de type 2Reference7Reference8.

Les médicaments contre les affections rétiniennes (agents antinéovascularisation) se situaient au deuxième rang des médicaments ayant le plus contribué à la croissance des dépenses des régimes publics d’assurance médicaments. Ces dépenses étaient en majeure partie attribuables à 2 médicaments injectables, soit Eylea (aflibercept) et Lucentis (ranibizumab). Les dépenses liées aux agents antinéovascularisation ont atteint 863 millions de dollars, pour une augmentation de 112 millions entre 2020 et 2021. Même si cette catégorie de médicaments connaît une forte croissance chaque année, la hausse marquée des dépenses en 2021 fait contrepoids à la baisse importante observée en 2020, lorsque la pandémie de COVID-19 a fait chuter le nombre de consultations en ophtalmologie pour des examens de la vue et des injectionsReference9.

Les médicaments contre l’hépatite C ont le plus contribué aux économies de coûts en 2021. Les dépenses liées à ces médicaments se sont établies à 325 millions de dollars, ce qui représente une baisse de 42 millions entre 2020 et 2021. La couverture élargie des antiviraux oraux à action directe, utilisés contre les infections chroniques au virus de l’hépatite C (VHC), et les initiatives visant à réduire les préjudices sont associées à une diminution des taux d’infection au VHCReference10. Toutefois, la baisse du nombre de tests de dépistage du VHC et de la prestation des services liés aux infections transmissibles sexuellement et par le sang a entraîné une diminution du nombre de cas détectés au cours de la pandémie, d’où une possible surestimation des économies associées à cette catégorie de médicamentsReference11Reference12. En outre, de nouveaux cas ont pu survenir puisque la capacité des services de réduction des préjudices a diminué pendant la pandémieReference11Reference13.

Les 5 principales catégories de médicaments, selon la contribution positive et négative à la croissance des dépenses des régimes publics d’assurance médicaments, 2021

Cette infographie est décrite ci-dessous
Catégorie de médicamentsLe plus souvent utilisé pour traiterContribution à la croissance des dépensesDifférence de 2020 à 2021 (en millions de dollars)
A10BJ : Analogues du glucagon-like peptide-1 (GLP-1)Diabète de type 211,7 %130 $
S01LA : Agents antinéovascularisation*Rétinopathie (p. ex. dégénérescence maculaire liée à l’âge)10,1 %112 $
L04AA : Immunosuppresseurs sélectifsMaladies inflammatoires ou auto-immunes (p. ex. polyarthrite rhumatoïde, maladie de Crohn, psoriasis, sclérose en plaques) 6,9 %77 $
L04AC : Inhibiteurs d’interleukinesMaladies inflammatoires ou auto-immunes (p. ex. polyarthrite rhumatoïde, maladie de Crohn, colite ulcéreuse, psoriasis)6,4 %71 $
A10BK : Inhibiteurs du cotransporteur sodium-glucose de type 2 (SGLT2)Diabète de type 26,1 %68 $
R03AK : Adrénergiques en association avec des corticostéroïdes ou d’autres médicaments, à l’exclusion des anticholinergiquesAsthme et maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)-1,2 %-13 $
L04AB : Inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale alpha (médicaments anti-TNF)Polyarthrite rhumatoïde et maladie de Crohn-1,5 %-17 $
R03AB : GlucocorticoïdesMaladies obstructives des voies respiratoires-1,7 %-19 $
L02BX : Autres inhibiteurs hormonaux et agents apparentésCancer de la prostate-2,1 %-23 $
J05AP : Antiviraux pour le traitement de l’infection au VHCHépatite C-3,8 %-42 $

Remarques
* Les dépenses consacrées au ranibizumab et à l’aflibercept (qui représentaient 99,9 % des dépenses en agents antinéovascularisation) en Nouvelle-Écosse, au Manitoba et en Colombie-Britannique, et la majeure partie de ces dépenses en Alberta, sont financées par des programmes spéciaux et ne sont pas incluses dans le SNIUMP.
À l’heure actuelle, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut ne soumettent pas de données au SNIUMP. Le régime fédéral administré par la Direction générale de la santé des Premières Nations et des Inuits (DGSPNI) est exclu, les données de ce régime n’étant pas disponibles après 2019.

Sources
Système national d’information sur l’utilisation des médicaments prescrits, 2021, Institut canadien d’information sur la santé; Banque médicaments, 2021, Régie de l’assurance maladie du Québec.

Quelle part des dépenses publiques au Canada est consacrée aux médicaments onéreux?

Les dépenses liées aux médicamentsNote de bas de page ionéreux (c.-à-d. ceux qui coûtent en moyenne 10 000 $ ou plus par personne par année) représentaient toujours une grande proportion des dépenses totales des régimes publics en 2021. Au total, 14,2 % de tous les médicaments étaient onéreux; ils représentaient environ le tiers des dépenses totales des régimes publics d’assurance médicaments. Les médicaments onéreux servent au traitement ou à la gestion du cancer du sein ou du cancer du sang, de l’hépatite C, de maladies auto-immunes (p. ex. la maladie de Crohn) et des affections rétiniennes (p. ex. la dégénérescence maculaire liée à l’âge), entre autresReference14.

En 2021, 43,0 % des dépenses des régimes publics d’assurance médicaments étaient liées aux 2,5 % des bénéficiaires ayant fait l’objet d’un remboursement de 10 000 $ ou plus. Ces bénéficiaires peuvent être divisés en 2 catégories : ceux qui utilisent des médicaments coûteux et ceux qui utilisent de nombreux médicaments différentsReference15. Environ les deux tiers d’entre eux utilisent au moins un médicament onéreux et le tiers ont présenté des demandes de remboursement pour 15 catégories de médicaments ou plus.

Parmi les bénéficiaires ayant recours à des médicaments onéreux, environ les deux tiers utilisaient au moins un médicament onéreux, tandis qu’un tiers avaient soumis une demande de remboursement pour 15 classes de médicaments ou plus.

Combien le Canada dépense-t-il en médicaments biologiques?

Les médicaments biologiques, c’est-à-dire dérivés d’organismes vivants, sont plus complexes structurellement et plus coûteux que les médicaments classiquesReference16. Les dépenses en médicaments biologiques par habitant continuent d’augmenter au Canada, qui arrive au troisième rang des pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) à ce chapitreReference17En 2021, les médicaments biologiques représentaient 29,4 % (4,4 milliards de dollars) des dépenses totales des régimes publics d’assurance médicaments et 2,3 % des demandes de remboursement.

Les médicaments biosimilaires sont des versions structurellement semblables aux médicaments biologiques originaux (médicaments biologiques de référence), mais moins coûteusesReference16. Les médicaments biologiques de référence représentent encore la majeure partie des dépenses en médicaments biologiques. Les dépenses en médicaments biosimilaires augmentent, car ces médicaments sont disponibles en plus grand nombre et les autorités compétentes sont de plus en plus nombreuses à mettre en place des initiatives de substitution pour les biosimilairesNote de bas de page iiEn 2021, les dépenses en biosimilaires représentaient 8,9 % des dépenses totales en médicaments biologiquesNote de bas de page iii, contre 6,9 % en 2020 et 4,5 % en 2019. La Colombie-Britannique (mai 2019), l’Alberta (décembre 2019) et le Nouveau-Brunswick (avril 2021) ont été les premières provinces à adopter des initiatives de substitution pour les biosimilairesReference18Reference19Reference20. En 2021, c’est dans ces provinces que la proportion des dépenses en médicaments biologiques consacrée aux biosimilaires était la plus élevée.

Pourcentage des dépenses en médicaments biologiques de référence et en biosimilaires selon l’autorité compétente, 2021

Cette infographie est décrite ci-dessous
Province ou territoireMédicaments biologiques de référenceMédicaments biosimilaires
T.-N.-L.79 %21 %
Î.-P.-É.91 %9 %
N.-É.87 %13 %
N.-B.62 %38 %
Qc80 %20 %
Ont.78 %22 %
Man.88 %12 %
Sask.96 %4 %
Alb.51 %49 %
C.-B.36 %64 %
Yn79 %21 %

Remarques
À l’heure actuelle, les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut ne soumettent pas de données au SNIUMP. Le régime fédéral administré par la Direction générale de la santé des Premières Nations et des Inuits (DGSPNI) est exclu, les données de ce régime n’étant pas disponibles après 2019.
Inclut les médicaments biosimilaires associés à un médicament biologique de référence ou plus.

Sources
Système national d’information sur l’utilisation des médicaments prescrits, 2021, Institut canadien d’information sur la santé; Banque médicaments, 2021, Régie de l’assurance maladie du Québec.

Les inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale alpha (médicaments anti-TNF) sont des médicaments biologiques utilisés pour traiter des affections telles que la polyarthrite rhumatoïde, la colite ulcéreuse et la maladie de Crohn. Depuis 10 ans, cette catégorie de médicaments est celle qui entraîne les dépenses des régimes publics les plus élevées au Canada. En 2021, les médicaments anti-TNF représentaient 7,4 % (1,2 milliard de dollars) des dépenses totales des régimes publics d’assurance médicaments. Bien que cette catégorie de médicaments soit la plus coûteuse au pays, les dépenses qui y sont associées ont diminué de 16,7 millions par rapport à 2020. Cette diminution s’explique surtout par le recours plus fréquent aux biosimilaires et l’arrivée sur le marché de nouveaux biosimilaires en 2021.

Depuis 2020, les dépenses consacrées aux inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale alpha (médicaments anti-TNF) ont diminué de 16,7 millions de dollars en raison de l’adoption accrue des biosimilaires et de l’arrivée de nouveaux médicaments biosimilaires sur le marché. Les médicaments anti-TNF sont couramment utilisés pour traiter la polyarthrite rhumatoïde et la maladie de Crohn.

Note de bas de page

i.

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Substances chimiques regroupées par l’Organisation mondiale de la santé au cinquième niveau du système de classification ATC. Chaque code unique représente une entité chimique ou biologique distincte au sein de la catégorie de médicaments concernée.

ii.

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Les initiatives de substitution pour les biosimilaires consistent à remplacer les médicaments biologiques originaux par des biosimilaires pour les patients atteints de certains problèmes de santé ou à utiliser dès le départ des biosimilaires pour les nouveaux patients qui commencent un traitementReference14.

iii.

Retour à la note de bas de page iii dans le texte

Il n’existe pas de biosimilaires pour tous les médicaments biologiques. En ce qui concerne les médicaments biologiques pour lesquels il existait un biosimilaire en 2021, les biosimilaires représentaient 27 % des dépenses en médicaments biologiques.

 

Références

1.

Retour à la référence 1 dans le texte

Institut canadien d’information sur la santé. Tendances des dépenses nationales de santé. Consulté le 3 novembre 2022.

2.

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4.

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Gouvernement du Manitoba. La Province ajoute 89 médicaments à la liste des médicaments couverts par le Régime d’assurance-médicaments du Manitoba [communiqué]. 21 janvier 2021.

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Lourenço L, et al. L’épidémie d’hépatite C au Canada : un aperçu des tendances récentes en matière de surveillance, de consommation de drogues injectables, de réduction des méfaits et de traitement. Relevé des maladies transmissibles au Canada. 2021.

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Gouvernement du Canada. Médicaments biologiques biosimilaires au Canada : Fiche d’information. Consulté en septembre 2022.

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18.

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Gouvernement de la Colombie-Britannique. Biosimilars initiative for patients. Consulté en septembre 2022.

19.

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Gouvernement de l’Alberta. Biosimilar drugs to provide safe, effective treatment [communiqué]. 12 décembre 2019.

20.

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Gouvernement du Nouveau-Brunswick. La province étend l’utilisation des biosimilaires pour améliorer la viabilité des régimes publics d’assurance-médicaments [communiqué]. 21 avril 2021.

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